Merci raoul, et merci à Geoffrey Schatz pour son résumé.
C'était sa deuxième participation à Osnabrück après 2017, mais cette fois-ci il a été un des ténors - un ténor très sympa, modeste et qui m'a même proposé de faire l'interview à la conférence de presse en anglais (il le parle très bien), ce que j'ai accepté avec plaisir.
Dommage pour sa sortie de route, je suis contente qu'il ait réussi à réparer la voiture pour les Rangiers, tout comme Christian Merli.
Il y avait plusieurs autres ténors (et une soprano

), et finalement Schatz, Merli et Zajelsnik se sont rencontrés à la même épreuve, avec toutes les questions de règlement que pose une telle compétition et qu'on a déjà relevées plus haut. (Je remercie Françoise et Nela pour la belle conversation qu'on a eue là-dessus dimanche après-midi ! )
Moi personnellement, comme d'habitude, je n'ai presque pas vu de voitures sur le parcours. Par contre je les ai vues de très près dans le paddock, aux vérifications et en pré-grille. ("Achtung Fahrerlager! Procédez en pré-grille IMMÉDIATEMENT svp !"

)
Pour moi, la course de côte c'est surtout les rencontres avec les gens, avec mes collègues, avec les pilotes et leurs équipes, avec les officiels, avec le public... et c'est la passion que chacun et chacune de nous vit d'une manière différente. Merci à tous ceux qui ont rendu cette course d'Osnabrück l'une des plus belles que j'ai vécues jusqu'à maintenant.
Et merci à notre équipe qui a transformé les prés mouillés après la forte pluie de samedi après-midi et nuit en quelque chose qui ressemblait quand même à un paddock et des zones spectateurs !
(Si vous vous demandez d'ailleurs quels sont les mots sur le t-shirt rouge dans la photo, c'est "Hill climb is the espresso of motorsport - short and intense", et j'en remercie la britannique Charlie Martin qui l'a dit à peu près comme ça dans un interview il y a quelques années.)